La Tribune de
Genève des 24 et 25 septembre 2011 annonçait en première page : « Une découverte du CERN stupéfie le monde
entier. Des physiciens du CERN ont mesuré des nutrinos voyageant plus vite que
la lumière. Une limite infranchissable selon la théorie d’Einstein. » Effectivement
cette nouvelle a immédiatement fait la UNE de toute la presse mondiale. Puis,
l’effet de surprise passé, le soufflé s’est dégonflé et la loi du silence
semble avoir été décrétée… du moins dans ladite grande presse. Le canular
était-il trop gros ?! Ce n’est certainement pas par hasard si, à peine
l’expérience réalisée et signalée aux principaux centres d’information
concernant la Physique, l’Etat d’Israël demandait à être admis comme
« observateur » au CERN, voie obligatoire pour être ensuite reconnu
comme membre de plein droit de ladite Institution, demande évidemment acceptée.
Coïncidence fortuite ou manœuvre délibérée ? Poser la question, c’est y
répondre ! Les Juifs n’ont pas travaillé sans relâche pendant presque un
siècle pour faire d’Einstein un démiurge et de « sa relativité » –
plus que relative, puisque le vrai inventeur de la soi-disant
« relativité » est Henri Poincaré – le summum de la
connaissance ! Il était donc urgent d’envoyer des « experts »
pour remettre au pas les imprudents qui osaient prouver la fausseté de telles
évidences dogmatiques. Il existe un autre « centre » qui a réagi avec
une extrême promptitude à cette nouvelle, qui avait d’ailleurs déjà filtré
avant sa publication par les medias, c’est le « Centre de Cosmologie de
l’Institut Niels Bohr » de Copenhague, centre qui recueille tout ce qui
touche de près ou de loin l’astre sans lequel il n’y aurait aucune vie possible
sur Terre…
Pourquoi cette promptitude ? Il faut savoir tout d’abord que la
fameuse théorie de la relativité de Poincaré, plagiée par Einstein, n’est
nullement une « découverte » scientifique fortuite mais une
machination bien délibérée. Pour le comprendre il faut remonter à Copernic.
Celui-ci a complètement bouleversé la vision de l’Univers en faisant du Soleil un
fixe en lieu et place de la Terre. Il a très exactement fait ce qu’avait fait
Josué, à la différence que Josué l’a fait pour quelques heures et obtenu ce
miracle par sa foi en Dieu, alors que Copernic était censé le faire pour
l’éternité. Autre différence majeure : seul le Soleil était momentanément
arrêté par la foi de Josué, tandis que Copernic, en faisant du Soleil un fixe,
fixait en même temps et par force toutes les étoiles. De son temps cette vision
nouvelle était considérée comme une hypothèse, d’ailleurs déjà proposée dans
l’Antiquité par Aristarque de Samos, et n’a suscité aucune réfutation ou confirmation
scientifiquement fondée car les zones d’ombres qu’elle comportait étaient
telles qu’elle ne pouvait pas dépasser ce stade. Un siècle plus tard, Galilée
tenta de transformer cette hypothèse en certitude scientifique en se gardant
bien de résoudre les problèmes insolubles résultant de cette théorie, à
savoir :
1. Comment justifier scientifiquement qu’une source unique puisse générer
deux mouvements différents, le mouvement du Soleil étant différent de celui des
étoiles.
2. Comment justifier scientifiquement que le Soleil étant un fixe et par
force toutes les étoiles, celui-ci est cependant un variable dans son mouvement
alors que toutes les autres étoiles sont des fixes dans le leur pourtant généré
par le même moteur, à savoir la rotation de la Terre sur son axe et la
constance de son inclinaison, cette dernière n’ayant d’effet que sur l’étoile
solaire et non sur la totalité des autres étoiles, ce que montre l’écliptique
de façon aussi claire qu’irréfutable.
3. Comment expliquer scientifiquement qu’il soit toujours midi en même
temps pour tout méridien, alors que l’axe de rotation de la Terre est en
constante variation par rapport au Soleil tout au long de l’année ???
Les fameuses « lois » de Newton, d’ailleurs en contradiction
avec les expériences attribuées à Galilée mais vérifiées expérimentalement par
la suite, à savoir que la masse ne joue pas le moindre rôle dans le mouvement
des corps, celui-ci dépendant totalement du moteur qui le produit, n’ont
évidemment pas résolu les problèmes fondamentaux cités ci-dessus, mais ont
servi uniquement à « noyer le poisson » ! Curieusement et
mystérieusement tous les astronomes (ou astrologues ?) se sont abstenus de
donner une réponse logique aux réalités mentionnées plus haut.
Ainsi la théorie de Copernic, après l’instrumentalisation truffée de
mensonges de « L’Affaire Galilée » et le gigantesque matraquage
organisé de mains de maîtres autour d’elle – c’est un dogme du catéchisme de la
franc-maçonnerie, organe séculier du judaïsme, inlassablement répété et propagé
que l’Eglise
s’est trompée en condamnant à tort Galilée et à travers lui la théorie de
Copernic – est devenu ainsi
un dogme scientifique !
Comment expliquer ce tour de passe-passe n’ayant pas l’ombre du moindre
fondement scientifique ? Un texte de Poincaré dans La Science et l’Hypothèse nous en donne la raison
fondamentale : « Ainsi
l’espace absolu, le temps absolu, la géométrie ne sont pas des conditions qui
s’imposent à la mécanique ; toutes ces choses ne préexistent pas plus à la
mécanique que la langue française ne préexiste logiquement aux vérités que l’on
exprime en français. »
Voilà un texte qui, lu rapidement, paraît aussi bien pensé que bien
rédigé : il expose une évidence qu’il ne viendrait à l’idée de personne de
contester ou même de mettre en doute. Et pourtant, à la réflexion, on peut dire
qu’il s’agit, pour employer des mots pas trop blessants, d’un sophisme
particulièrement grossier. Premièrement, parler d’espace absolu et de temps
absolu est totalement absurde ; l’espace et le temps sont limités ou
illimités, mais en aucun cas ils ne peuvent être qualifiés d’absolus. Ce n’est pas par hasard que Poincaré
y accole le mot géométrie pour signifier que ses lois et règles n’ont, elles
aussi, rien d’absolus, ce qui veut
dire en clair que espace, temps et lois régissant la géométrie n’ont rien de
fixe et peuvent varier à l’infini !
Et, pour le prouver, Poincaré déclare qu’il en est ainsi parce que la langue française ne préexiste logiquement
aux vérités que l’on exprime en français. C’est vraiment prendre les
lecteurs pour des imbéciles, car le dernier des demeurés sait que la Vérité
préexiste au français et à tout idiome qui tentent de l’exprimer par des mots
et structures elles-mêmes soumises à des lois et règles strictes et fixes,
surtout en français !
Mais ce sont ces mêmes lois et règles que Poincaré dynamite pour espace,
temps et géométrie, en les transformant, de fixes qu’elles sont par essence, en
variables ! Ne lui en déplaise : un angle droit sera toujours et
partout de 90° et une journée complète a toujours eu et aura toujours 24
heures ! Ce qui n’empêche pas les scientifiques à la Poincaré, Einstein et
Cie à substituer au temps solaire, devenu ainsi variable, un temps fixe (voire
« absolu » ! ) désormais régi par une horloge dite atomique et
non plus par le Soleil et de régir le Soleil par ladite horloge. Comme on en a
la preuve ci-dessus la contradiction est une constante invariable dans la
Physique moderne et on dissimule ces contradictions sous le terme commode de
« relativité » ! Mais on voit à quelles absurdités conduit une
façon de penser et de raisonner sur de tels sables mouvants… On ne nage pas
dans l’antimatière mais dans le non-sens.
Mentionnons en passant que le pseudo-pape Jean Paul II, alias le juif
Wojtyla, a « réhabilité » Galilée, soi-disant injustement condamné
par l’Eglise… et célébré le centenaire de la naissance d’Einstein, plagiaire de
Poincaré ! On se demande bien pour quelle raison le pseudo vicaire du
Christ, per quem omnia facta sunt, faisait cette célébration d’une
personne pour qui Dieu n’était, tout au plus, qu’une hypothèse !
Ce n’est pas par hasard si le nom d’Einstein est écrit ici. En effet le démiurge
Einstein, sorte de « dieu grand architecte de l’Univers », selon la
définition du mot démiurge – et il le proclame lui-même lorsqu’il vaticine
« pour ceux d’entre nous qui croyons
en la physique, cette séparation entre passé, présent et futur n’est qu’une
illusion » ce qui est une prérogative proprement divine – le démiurge
donc, après avoir butiné un peu partout, s’est bien rendu compte que la théorie
de Copernic était bancale mais qu’il était, malgré tout, urgent de la fixer
pour l’éternité, ce que n’avaient pas fait Newton, Kepler ou Poincaré… ni
Galilée !
Alors de sa propre et seule autorité il a fixé une limite au mouvement
possible dans l’Univers, soit la vitesse de la lumière dans le vide. A noter en
passant que le vide intégral n’existe pas et ne peut exister. Malgré cette
objection, cette décision du démiurge est devenu un dogme scientifique
fondamental, comme le montre et démontre la stupéfaction, réelle ou feinte, de
tout le monde scientifique et médiatique après l’expérience du CERN, tous se
rendant pourtant compte que cette absurdité imposée comme dogme par le démiurge
n’a aucune base scientifique logique et a lancé toute la Physique, dite
moderne, dans une voie sans issue… Le temps élastique qui résulte des tours de
passe-passe effectués par le prestidigitateur n’est qu’une ineptie en parfaite
synchronisation avec la philosophie de l’absurde où les êtres de raison
deviennent des substances et les substances des êtres de raison que l’on peut
algébriser et manipuler à loisir, ce qui est tout-à-fait normal dans le
matérialisme, le spirituel n’ayant pas droit de cité dans ce système.
Il en est de même pour sa conception de l’espace et de la masse. Exemple
particulièrement instructif : la fameuse équation e = mc2.
Cette dernière est une aberration aussi bien sur le plan philosophique que
scientifique, car si l’on pose comme base que « c » est la limite
infranchissable pour tout mouvement dans l’Univers, il est donc impossible et
impensable de mettre ce mouvement-limite au carré pour obtenir de l’énergie par
la masse ! Pour obtenir de l’énergie, il faut effectivement une masse, et
une masse de matière bien précisée et mise en mouvement, et de plus il faut le
choc entre masses ou sur cette masse. Là encore, la fameuse formule est
parfaitement inadéquate. On ne multiplie pas la masse d’une matière bien
définie avec une relation, puisque la vitesse n’est que la mesure temporelle
qui existe entre un point de départ et un point d’arrivée, représenté dans
l’espace par une ligne et en temps par un mobile la parcourant et calculé sur
la base d’une unité de mesure fixe, seconde, minute, année, etc.
Le résultat de cette formule aberrante est d’ailleurs facile à calculer
300.000 x 300.000 = 90.000.000.000, soit une vitesse, et une vitesse totalement
impossible selon le même Einstein et ne produisant de plus pas la moindre
énergie !
Depuis quatre ou cinq siècles, il était aisé de polémiquer à perte de
vue sur la théorie de Copernic considérée a priori comme soi-disant
scientifiquement établie et prouvée, le but principal de la polémique étant de
discréditer l’Eglise dont les dirigeants étaient considérés comme des ignares
et des demeurés incapables de comprendre la réalité pourtant aveuglante exposée
par Copernic par la voix de Galilée. Je m’abstiendrai de donner des détails sur
ce personnage imbu de lui-même, assoiffé de gloire temporelle et de monnaies
bien sonnantes… Toutefois toutes ces polémiques n’avaient pas de répercussions
sur le plan pratique, mais ont fini par détourner totalement les esprits du problème
fondamental : l’adéquation entre la théorie et la réalité !
Signalons en passant que c’est cette même Eglise qui avait pourtant
établi et imposé le calendrier grégorien, du nom de son auteur, le Pape
Grégoire XIII, successeur du Pape saint Pie V, sur la base d’un travail
scientifique extraordinaire de précision, effectué évidemment sans ordinateur
ni machine à calculer, travail que personne à l’heure actuelle ne serait assez
sot pour le tourner en dérision, puisque ce calendrier est et restera la base
indispensable pour le comput du temps. Ce n’était en toute certitude pas des
ignares et des demeurés qui ont établi ce chef-d’œuvre de précision dans
l’observation et le calcul du temps des mouvements du Soleil, des étoiles et de
la Lune pour montrer leur synchronisation !
Il en va tout autrement dès l’instant où les hommes ont décidé d’escalader
les Cieux. [Voir en Isaïe 14 comment s’est terminée cette prétention de
Lucifer qui préfigure celle qui se produira infailliblement pour ses disciples
des Temps modernes…] C’est le Président des Etats-Unis, John F. Kennedy, qui le
premier annonça que des hommes seraient envoyés sur la Lune… et que ces hommes
seraient des Américains pour se laver de l’outrage effroyable que les Etats-Unis
– se considérant comme la première puissance mondiale dans tous les domaines –
avaient subi par le choc déclenché par la réussite de Spoutnik par les
Soviétiques. Le bip-bip de Spoutnik fit entrer en transes toutes les classes
politique, scientifique, militaire et surtout financière américaines. Par tous
les moyens et par n’importe quels moyens il fallait que les Etats-Unis mettent
tout en œuvre pour montrer au monde entier qu’ils étaient, restaient et
resteraient la première puissance mondiale par ce coup d’éclat de la conquête
de la Lune : il fallait que le drapeau des Etats-Unis soit le premier à
« flotter » sur l’astre mort et sans atmosphère qui tournait dans la
proche banlieue de la Terre.
La précipitation étant mauvaise conseillère, les
« scientifiques » américains en oublièrent le dogme de Copernic fixé
par leur glorieux néo-compatriote, le démiurge Einstein, et se fièrent
entièrement aux dogmes de Newton. Car la réussite de Spoutnik avait surtout
comme conséquence immédiate le fait de pouvoir faire tourner autour de la Terre
des satellites et que ceux-ci pourraient devenir des moyens et des relais
particulièrement importants et surtout particulièrement rentables pour les
ondes de télécommunication, la mondovision et… l’espionnage. Oubliant donc le
dogme fondamental de Copernic fixé pour l’éternité par Einstein qui avait donné
l’ordre au mouvement possible dans la création de ne pas dépasser la vitesse
théorique de la lumière dans le vide, soit environ 300.000 km seconde, [ce qui
rendait impossible la conception de l’Univers selon Hipparque, Ptolémée ou
Aristote et tous les astronomes jusqu’à Copernic], ces scientifiques
imaginèrent donc de placer un satellite dit géostationnaire, c’est-à-dire
tournant non pas autour de la Terre mais tournant à la même vitesse que la rotation
de la terre, semblant ainsi immobile par rapport à un point du globe. Ils
calculèrent la hauteur à laquelle il fallait le placer pour que l’attraction,
selon les lois de Newton, soit nulle, condition primordiale pour pouvoir accompagner
la Terre dans sa rotation. Ils oublièrent simplement que la Terre non seulement
tournait sur elle-même, mais se déplaçait autour du Soleil à la vitesse de
100.000 km heure (vitesse toute théorique d’ailleurs et fixée arbitrairement
sur la base d’une évaluation de la distance Terre-Soleil de 150 millions de
kilomètres…). Et pour que le satellite puisse paraître immobile par rapport à
un point quelconque du globe, il fallait de nécessité absolue que ce satellite
puisse suivre la Terre à la même vitesse et, pour ce faire, il n’y a qu’un seul
moyen possible d’explication : l’ATTRACTION, puisque seule l’attraction
pourrait expliquer que le satellite puisse suivre la Terre dans son mouvement
accéléré autour du Soleil. Ainsi leur satellite était entièrement libéré de l’attraction pour paraître immobile par
rapport à un point du globe et en même temps entièrement soumis à cette même attraction pour décrire une vrille,
d’ailleurs d’une extrême complexité vu la fixité de l’inclinaison de son axe,
pour accompagner la Terre dans son périple autour du Soleil… autant dire être
et ne pas être en même temps !
Ceci dit, c’est à grand renfort de publicité que la NASA annonça qu’elle
placerait un satellite géostationnaire quelque part au-dessus de l’Atlantique
et pour bien souligner l’importance de l’événement historique qui allait
stupéfier le monde entier, le Président John F. Kennedy s’était déplacé à Cap
Canaveral. La fusée porteuse décolla comme prévu, plaça le satellite sur son
orbite mais, au lieu de rester sagement à la place que les « scientifiques »
lui avaient assigné, il se mit à tourner autour de la Terre comme un vulgaire
Spoutnik ! Le Président Kennedy qui était un homme cultivé tira
immédiatement la conclusion qui s’imposait : lesdits satellites
géostationnaires sont impossibles pour les raisons indiquées ci-dessus et
déclara, à la stupeur générale des concepteurs de cette erreur monumentale,
qu’il fallait donc envisager pour la mondovision la mise en place d’une chaîne
de satellites, ce que les Américains s’empressèrent de réaliser, tout en
déclarant que leur essai avait foiré pour un motif uniquement technique et
qu’on ferait mieux la prochaine fois ! Ils le firent effectivement en
réalisant leur(s) chaîne(s) de satellites, pendant que les autres rêvaient et planchaient
encore sur les satellites prétendument géostationnaires !
Mais sa déclaration lui coûta probablement la vie, car elle rendait impossible
la « conquête » de la Lune – elle déclarait ipso facto que la théorie
de Copernic est fausse la Terre étant un fixe - cette conquête devant
aboutir à nouvel Etat américain, qu’il avait pourtant proposé lui-même pour
redorer le blason des Etats-Unis en ajoutant cette nouvelle étoile sur leur
drapeau et pour laquelle le Congrès avait déjà ouvert toutes grandes les
écluses à dollars qui devaient arroser les plus grosses entreprises des magnats
judéo-américains…
Il fallait tout le cynisme réaliste de Lyndon Johnson pour continuer à
faire rêver les Américains à leur suprématie par cette prétendue
« conquête » lunaire et le programme se poursuivit jusqu’à sa
réalisation tellement parfaite qu’elle en devient risible… comme une fiction
sortie des studios d’Hollywood. A une époque où l’on peut lire des inepties
comme celle-ci : « Le voyage dans le temps est aujourd'hui passé de la
pure science-fiction à la vraie science, de par le simple fait que la physique
moderne relègue le temps au rang de variable très relatif… », on peut bien faire gober au monde entier
n’importe quoi à force de répéter inlassablement les mêmes mensonges. Mais toute
médaille a son revers : les milliards de dollars dépensés pour le mensonge
font terriblement défaut actuellement et pourraient bien entraîner la chute du
colosse aux pieds d’argile qui ne tient encore debout que par une sorte de
miracle, sa dette faramineuse risquant bien d’être le levier par lequel ses
ennemis peuvent à tout instant provoquer sa chute… et la leur en même temps.
C’est uniquement ce dernier point qui les retient en attendant de trouver une
solution les épargnant… car la valeur actuelle des dollars que ces ennemis ont
accumulés est entièrement fictive !
Il est tout de même curieux que les scientifiques
comme ceux de l’Institut Niels Bohr de Copenhague par exemple, qui en un temps
record ont pu dénicher et observer par milliers des amas de galaxies situés à
des millions d’années-lumière de la Voie lactée des signes évidents de
l’application de la théorie de la relativité dans la totalité de l’Univers
actuellement connu, affirmation qu’il faudrait croire en tant que nouveau
dogme, soient incapables de faire la réflexion de bon sens et de sens commun
qu’il est toujours midi en même temps pour tout le même méridien et cela toute
l’année et toutes les années depuis l’origine, et que pour cela il faut de
nécessité absolue que la Terre soit fixe et parfaitement stable ! Avant de
se projeter à des millions et des millions d’années-lumière, il serait tout de
même utile et surtout scientifique de s’assurer que le plancher des vaches à
partir duquel on fait ces observations est bien tel qu’il est et non tel qu’on
voudrait qu’il soit. Tous ces astrophysiciens devraient être les premiers à
savoir et à enseigner que pour que midi se produise en même temps pour le même
méridien, ce qui est valable non seulement pour le méridien-origine GMT choisi
par convention, mais pour tous les méridiens, il faut de nécessité absolue que
le plan qui le contient coupe à angle droit le plan dans lequel est situé le Soleil.
Et cela se produit dans la réalité chaque jour et tous les jours depuis que la
Terre et le Soleil existent ! C’est la suffisante et exaltante preuve que
la Terre est un fixe et que la théorie de Copernic, instrumentalisée par
Galilée dans des buts extra-scientifiques, puis reprise, amplifiée et
inlassablement propagée par tous les ennemis jurés de l’Eglise, est fausse
puisqu’elle est totalement incapable d’expliquer cette évidence !
Mais ce constat est tout simplement tragique :
il montre et démontre qu’une propagande basée sur le mensonge peut aveugler
pratiquement la totalité du monde qui se dit ou se prétend scientifique et à
travers lui et par lui la quasi-totalité des hommes… Et pour corser encore ce
tragique constat de la situation présente, il faut surtout mettre en relief le
fait qu’à notre époque de matérialisme généralisé, où l’argent est la Divinité
suprême, le Mammon d’iniquité, selon
la définition enseignée par Jésus, ce et ces mensonges accumulés ont englouti
des fortunes faramineuses pour des prodiges mensongers comme la
« conquête » de la Lune, pour prendre l’exemple le plus significatif,
et autres mensonges éhontés comme les satellites dits géostationnaires et les
envois de sondes et de robots sur la Lune ou Mars… La Lune se déplaçant à
100.000 Km/h on se demande comment un robot pourrait y alunir en douceur tout
comme les modules lunaires des Missions Apollo !
Tout cet argent réel, mais entièrement dilapidé,
pour réaliser des rêves fallacieux, fait cruellement défaut actuellement et, –
gigantesque paradoxe – est en train de se détruire lui-même entraînant le monde
dans une crise sans précédent, sorte de fin d’un monde régi par cette divinité
aux pieds d’argile ou, plus exactement aux pieds de papier, représentés par une
pseudo-monnaie virtuelle.
Les Juifs qui sont les maîtres incontestés de
Mammon peuvent être fiers de leur « réussite » comme de celle d’Einstein,
leur démiurge, qu’ils ont imposé au monde comme le summum insurpassable du
génie humain !
Il est paradoxal de souligner que c’est le juif
sioniste Arthur Koestler qui a le mieux montré et démontré la fausseté de la
théorie de Galilée comme il le déclare dans ce texte : « La gloire de Galilée repose surtout sur des découvertes qu'il n'a jamais faites et sur des exploits qu'il n'a jamais accomplis. Contrairement aux affirmations de nombreux manuels, même récents, d'histoire et de sciences, Galilée n'a pas inventé le télescope. Ni le microscope. Ni le thermomètre. Ni l'horloge à balancier. Il n'a pas découvert la loi d'inertie ; ni les taches du Soleil. Il n'a apporté aucune contribution à l'astronomie théorique. Il n'a pas laissé tomber de poids du haut de la tour de Pise ; et il n'a pas démontré la vérité du système de Copernic. Il n'a pas été torturé par l'Inquisition, ni excommunié. Il n'a pas dit "Eppur si muove" ; il n'a pas été un martyr de la science."(Arthur Koestler, Les somnanbules, 1963)
Ce texte est d’autant
plus curieux que ce sont surtout les Juifs et tous les ennemis de l’Eglise
catholique qui ont fait de Galilée un martyr de la science, torturé par
l’Inquisition... alors qu’il était reçu par le Pape comme un illustre
savant ! Pour conclure, je tiens à préciser que j’approuve entièrement le
texte de Koestler, tout en relevant avec le cardinal Bellarmin qu’il était pertinent
d’envisager l’hypothèse de Copernic au motif de la prouver, ce que n’ont jamais
fait Galilée ni ses partisans !